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OSTERBERGER / COLLECTIF - Romances. Mélodies, chants, et morceaux de poésie, à J. B. Osterberger

OSTERBERGER (Jean-Baptiste) / COLLECTIF - Romances. Mélodies, chants, et morceaux de poésie, à J. B. Osterberger
OSTERBERGER (Jean-Baptiste) / COLLECTIF - Romances. Mélodies, chants, et morceaux de poésie, à J. B. Osterberger
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OSTERBERGER (Jean-Baptiste) / COLLECTIF - Romances. Mélodies, chants, et morceaux de poésie, à J. B. Osterberger

Chansonnier manuscrit, avec des chansons allemandes et alsaciennes

OSTERBERGER (Jean-Baptiste) / COLLECTIF
Romances. Mélodies, chants, et morceaux de poésie, à J. B. Osterberger
Paris, 1847-1893
Cahier in-12° (213 x 137 mm), 79 pp. manuscrites à l’encre brune en français, en allemand et en alsacien- 6 pp. bl. - 7 pp. manuscrites à l’encre brune en français - [19] ff. bl., une seule main, cartonnage demi-basane à la Bradel, dos muet, plats de papier gaufré noir à motif floral (travail de l'époque)

Recueil manuscrit de chansons, d'une tenu soignée, orné d'une beau titre calligraphié à l'encre noir, réalisé par Jean-Baptiste Osterberger, garde général adjoint des forêts à Grandvilliers (Oise). Il est l'auteur de deux plans de forêt imprimé, dont un de celle de Schlestadt (Plan / de la forêt communale de Schlestadt / dite / Illwald. / réduit à l'échelle de 1 à 20. 000 / Par Jn. Bte. Osterberger, Brigadier forestier. / Schlestadt 1866. (Lith. Ch. Helbig à Schlestadt., BnF Richelieu GE D-17389) et un Plan de la forêt domaniale de Villefermoy / réduit à l'échelle de 1 à 20000 / par / Jn.-Bte. Osterberger / garde général adjt. des forêts, Mon. forestière de Granvilliers / 1881. On trouve dans le Bulletin des lois de la République française (n° 257, 1872, « État n° 122 de lorrains et d'alsaciens qui ont opté pour la nationalité française », p. 5236) un Jean-Baptiste Osterberger né le 4 mars 1826 à Obernai (Bas-Rhin).

Le manuscrit, qui porte sur la page de titre la mention « Paris, 1847 » comprend une première partie composée de 39 textes en français, dont une dizaine (chants folkloriques, chansons bachiques, chansons de soldats, romances, et poèmes attribués par l’auteur à Alfred Sobeaux et Eugène de Lonlay) ne semblent pas avoir paru dans les recueils numérisés. On trouve également des textes de Béranger, Théophile Marion Durmessan, Léon Halévy, Gustave Leniolne, Émile Barateau et Émile Deschamps ainsi que des extraits du livret des opéras de Donizetti Lucia de Lamermoor et La favorite.

Une seconde partie comporte 20 poèmes et textes de chansons en alsacien et en allemand : romances, chansons de soldats, chansons de chasseurs, une dizaine desquelles nous n’avons, malgré nos recherches, pu trouver dans les recueils numérisés : « Deutsche Linder », « Das Wörtchen Du », « Der Waidmann », « Untreue », « Die Erste Liebe », « Das Ledige Leben », « I müẞi ebs erzähle », « Jägerlied », « Das schlafende Schöne », et enfin  « Der Pfingstmontai », attribué par l’auteur à Unstatt Joni (?) de Schelstadt. Au-dessous de ce dernier texte, on remarque la mention « Souvenirs et regrets de notre bonne ville de Schelstadt. 1863 à 1871 » ; il s’agit de la ville de Sélénat, qui comme le reste d’Alsace passa aux mains des allemands en 1871.

On trouve également dans cette section « Das zerstörte glück oder der erste kuẞ » (Theodor Körner); « Ewiger Durst », qui parut dans le volume 5 du recueil Hortus deliciarum für deutschen Humor) ; « Eisan bin ich nicht allein », tiré de l’opéra Preziosa ; « Ständchen an Luise », poème acrostiche pour la musique de Louis Spohr ; le poème de Friedrichs von Schiller « Un den Frühling » ; « Lehre der WeiSheit », paru dans Universal-Taschen-Liederbuch (J. J. Algier. Reutlingen : 1841) ; « Wenn die Schalwben haimwärts ziehn » (paroles de Karl Reginald Herloẞsohn) ; « Im Wald und auf der Heide » (Wilhelm Bornerman) ; « Mein Elsasz », imité de « Ma Normandie » ; la chanson folklorique « Du, du liegst mir un hauzen » ; et « Als ich an einem Sommertag » dans une variante pour soldat.

Une dernière section, datée au crayon « 1871 à 1893 » comprend 5 textes en français : La romance de Guido « Pendant la fête une inconnue », issue de l’opéra Guido et Ginevra, ou la Peste de Florence, « La tyrolienne des Pyrénées » d’Alfred Roland, un morceau issu de l’opéra-comique « La Dame Blanche »et le texte d’une chansonintitulé « Nout’Agathe » dont nous n’avons pas trouvé trace dans les recueils numérisés. Enfin, une « gaudriole de chasse » elle aussi inédite, est attribuée par l’auteur à Vilnay, membre de la société épicurienne du Caveau moderne « appelé Ramonneau par ses camarades de chasse ». L’auteur indique par ailleurs qu’il aurait lui-même improvisé et chanté le dernier couplet de cette chanson « à une partie de chasse dans la forêt de Villefermoy ».

Frottements, coins frottés, manque à la pointe du mors supérieur, petit manque au mors inférieur.

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