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COCTEAU - L'impromptu du Palais-Royal

COCTEAU - L'impromptu du Palais-Royal
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COCTEAU - L'impromptu du Palais-Royal

Before Molière in Tokyo

COCTEAU (Jean)
L'impromptu du Palais-Royal
Paris : Gallimard, 1962
In-8° (202 x 132 mm), 76 pp. - [2] ff., demi-maroquin orange à coins, dos à 4 faux-nerfs, filets dorés sur les plats, tête dorée, couvertures et dos conservées (reliure signée F. Simon)

Édition originale. Un des 25 exemplaires du tirage de tête sur Hollande van Gelder (celui-ci le n°4). Suivent 80 exemplaires sur vélin pur-fil Lafuma-Navarre. Il a été tiré en outre 20 exemplaires hors-commerce sur parcheminé azuré, réservés à l'auteur.

« La Comédie Française, pour sa tournée au Japon, avait demandé à Jean Cocteau d'écrire un impromptu qui se jouerait avant les Fourberies de Scapin et s'inscrirait ensuite au répertoire.
L'impromptu est un « genre ». Jean Cocteau eut l'idée de s'y soumettre et d'y marier son goût de l'intemporel à celui du style de L'Impromptu de Versailles et de La Critique de l'École des femmes. Il en résulte un divertissement où l'on assiste, au théâtre, et, en quelque sorte, pour la première fois, au célèbre déjeuner du Roi Louis XIV avec Molière, qui est, sans doute, une fable. Les comédiens jouent ensemble leur propre rôle et celui des personnages qu'ils interprètent. C'est par ce mélange du mythe et de la réalité que L'Impromptu du Palais-Royal s'insère à merveille dans l'œuvre de Jean Cocteau et lui donne une grâce inimitable où s'enchevêtrent le burlesque et le grave. » (Gallimard)

Ce divertissement méta-théâtral confrontant Louis XIV, Molière et une spectatrice « un peu pédante » (p. 8) fut donc donné, avec une mise en scène de Jacques Charron, en introduction des Fourberies de Scapin à Osaka, du 1er au 5 mai 1962 puis à Tokyo, du 8 au 15 mai 1962.

PROVENANCE : Emmy Joubert, ex-libris imprimé à la devise « Habent sua fata libelli » au contreplat supérieur, fin du XXe siècle.

Témoins conservés.

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